Description
Dans sa maison à Tanneron, au sud de la France, Sarah découvre, un matin, un e‑mail, adressé à Sarah Brodi photographe. Elle hésite à accepter l’évidence : une admiratrice lui écrit… Malgré une légère honte, elle se sent flattée.
Un clic de souris et sa réponse part.
Elle ignore que ce geste va profondément bouleverser son existence…
Son téléphone sonne à cet instant.
La voix au bout du fil, fait instantanément trembler tout son être, par une peur irraisonnée et très ancienne. Telle la vitesse d’un éclair, les souvenirs ressurgissent dans son esprit.
Non, ce n’est pas possible ! Non, ce n’est pas lui !
L’irruption subite de Varga, ancien Officier traitant de la Police secrète Hongroise, va déclencher une série de situations inattendues.
Sortira-t-elle indemne des dangers qui la guettent ?
Un récit fort autour des traumatismes, du pardon, de la mémoire, et de l’identité ou passé et présent s’entrelacent. Un roman sensible, profond et plein d’humanité.
Andréa Negrelli, comme son héroïne, a vécu sa jeunesse en Hongrie, sous le régime communiste de János Kádár, avant de s’installer en France. C’est son deuxième roman, après une vie professionnelle de réalisatrice de films documentaires.
Avis :
Une lecture profondément émouvante. Le personnage de Sarah traverse avec une grande sensibilité des souvenirs complexes qui m’ont touchée. Le contraste entre Paris et Budapest est rendu avec beaucoup de finesse. J’ai été captivé du début à la fin.
Le plus important pour moi, c’est à quel point je me suis attachée au personnage de Sarah complexe, fort et faible à la fois. J’ai vraiment eu du mal à la quitter.
Marque-page :
Ce matin, dans la vie de Sarah Brodi, photographe, font irruption deux personnes. Une admiratrice inconnue jusque-là et un ancien officier traitant de la Police Secrète hongroise qui, dans sa jeunesse, l’avait harcelée.
Un récit fort autour des traumatismes, du pardon, de la mémoire, et de l’identité où passé et présent s’entrelacent. Un roman sensible, profond et plein d’humanité.









